Collectif à tendance écoanarchiste situé à Drummondville
Nous contacter: communauterre@hotmail.com

dimanche 21 décembre 2008

Voyager pas cher

Je viens de découvrir un site GÉNIAL: http://www.couchsurfing.com/?user_language=fr
Pour voyager et être héberger gratuitement... ça vaut vraiment le détour!

lundi 15 décembre 2008

Facebook, attention

J'ai remarqué récemment qu'il y avait beaucoup de photos de manifs qui circulaient sur Facebook... et les gens sont parfois marqués (leur nom apparait quand on met la souris sur eux). Pour la police, ça doit être une source vraiment trop facile... il faudrait faire attention. On sait qu'ils font des dossiers sur les manifestants, tout le temps. Pour les futures manifs, je vous conseillerais de venir cagouléEs, d'éviter de mettre des photos de manifs sur Facebook (ou autre) et surtout de pas marquer le monde. Il faut préserver l'anonymat le plus possible. Par solidarité avec les autres manifestants!

mercredi 10 décembre 2008

Article tiré d'un blogue: Pour l'abolition de la viande

L'abolition comme solution la plus réaliste

Beaucoup de militants animalistes, dont je suis, voient l'abolition de la viande comme une étape sur le chemin d'une société de moins en moins spéciste (d'autres parleraient d'une étape "vers la fin de toute exploitation animale").

Sans renier cette perspective, il est en une autre, complémentaire, qu'il nous faut développer pour renforcer le soutien à l'idée d'abolition. Il nous faut montrer que l'abolition de la viande est la solution la plus réaliste à ce que notre société considère déjà comme des problèmes sérieux de la production de viande.

En effet, outre les questions environnementales (pollution, etc.), sanitaires (zoonoses, etc.) et économiques (subventions, etc.) posées par la production de viande, la question des conditions de vie -et de mort- des animaux dans les élevages est elle aussi déjà considérée comme importante(1), et problématique, par beaucoup de gens. Ainsi des pratiques d'élevages tels l'enfermement en cage, l'entassement en bâtiments fermés, ou les mutilations à vif font déjà l'objet de fortes réprobations du public(2).

Mais s'il est assez bien admis que l'on puisse refuser à titre personnel de consommer les produits animaux, dès lors qu'il s'agit de solutions collectives à ces problèmes, seule l'amélioration des conditions d'élevage est considérée comme une approche réaliste. La thèse implicite est qu'à force d'améliorer les conditions d'élevage on finira par arriver à une situation acceptable pour les animaux. Et qu'il est irréaliste, utopique, d'abolir la viande.

Un défi auquel est confronté notre mouvement est de montrer que ce qui est utopique, ce n'est pas d'imaginer une société sans viande, mais de croire que l'on puisse arriver un jour à offrir une vie correcte et une mort sans souffrance aux plus d'un milliard d'animaux tués chaque année pour la viande en France.

A mesure que la question de l'abolition fera débat, on nous demandera avec de plus en plus d'insistance : "pourquoi abolir s'il existe d'autres moyens de résoudre les problèmes ?"

Outre de rappeler que l'abattage est déjà en soi un problème, à nous de demander à notre tour comment concrètement pourrait-on produire les centaines de milliers de tonnes de viande, les milliards d'oeufs, qu'on produit chaque année en France sans que les animaux en pâtissent fortement comme aujourd'hui ? A nous de demander comment, de manière réaliste, un éleveur qui produit de la viande de poulets avec des dizaines de milliers d'oiseaux pourrait, avec toute la bonne volonté du monde, leur offrir des conditions de vie correctes ? Comment, par exemple, pourrait-il soigner ses animaux malades alors qu'il n'a même pas le temps de les passer chacun en revue du regard chaque jour ?

A ceux qui expliquent que l'abolition est irréaliste, mais qui reconnaissent les problèmes posés aujourd'hui par la production de viande, demandons : combien d'hectares supplémentaires faudrait-il allouer aux filières d'élevage ? Combien de milliers (de millions ?) de personnes faudrait-il payer pour s'occuper correctement des animaux ? de combien, en conséquence, multiplier le prix de la viande ? Et quelles autres solutions couteuses faudrait-il encore mettre en oeuvre ? Notre société est-elle réellement prête à de telles extravagances pour un produit dont il est de plus en plus connu qu'il n'est en rien nécessaire pour vivre en bonne santé ?

La question de savoir si l'approche actuelle (résoudre les problèmes de la production de viande par améliorations successives) est réaliste ou non n'est aujourd'hui presque jamais discutée. En effet :

ceux qui mangent ou produisent de la viande, comme ceux qui oeuvrent à améliorer les conditions de production, ont un fort intérêt à la croire vraie car elle légitime leurs activités(3) ;

quant aux militants favorables à l'abolition de la viande, beaucoup d'entre eux se désintéressent de cette question sur l'argument qu'il n'est de toutes façons pas légitime de tuer des animaux pour les manger (ou que toute exploitation, même sans souffrance, ne serait pas acceptable).

Argumenter qu'éthiquement la production de viande n'est pas légitime ne devrait pas nous empêcher de montrer que l'approche aujourd'hui mise en oeuvre pour résoudre les problèmes causés par cette production est bien moins réaliste que son abolition.

Antoine Comiti
http://abolitionblog.blogspot.com/

Se redéfinir

Bonjour, je m'appelle Simon, je travaille au...
Yo, moi c'est Phil, je travaille chez...
Moi c'est Jacques, j'étudies en sciences humaines et je travaille au...
Je suis en année sabbatique. (je travaille pas et j'étudie pas)
Je fais rien. (je travaille pas et j'étudie pas)
Je suis en break. (de travail et d'études)

Est-ce qu'on peut se définir seulement par son travail et-ou ses études? J'espère que non. On a des qualités, des défauts, des passions, des rêves, des loisirs, des façons différentes de voir le monde, de l'expérience de vie. Pourquoi alors, quand il est le temps de se présenter, on ne parle que de son travail ou de ses études? J'émet l'hypothèse que les valeurs de travail et d'éducation occupent une place (trop) importante dans nos vies. Il faut être capable de se redéfinir autrement. Une vie ne se résume pas au travail que l'on occupe ou aux études que l'on fait. Brisons les murs et affirmons comment nous sommes et ce que nous aimons une bonne fois pour toute! On ne peut pas fuir ce que l'on est.

Exemple:
Salut, je m'appelle Simon. J'essaie de profiter de la vie au maximum à chaque fois que c'est possible. J'adore jouer de la musique et rencontrer tout plein de gens de différents horizons. Je suis assez impliqué dans mon milieu, notamment dans un collectif écoanarchiste. J'essaie de travailler le moins possible, car je trouve ça aliénant. Je projette d'aller à l'université un jour, en philosophie ou en sciences politiques. Au plaisir de se parler.

La prochaine fois que vous aurez à vous présenter devant des gens, j'espère que vous parlerez pas juste de votre travail. Ça en dit pas long sur vous.

Simon

mardi 9 décembre 2008

Article tiré de Via Campesina

La souveraineté alimentaire peut stabiliser le climat!

Position de Via Campesina sur la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations-Unies sur les Changements Climatiques)

Les paysans et les paysannes font partie des premières victimes du changement climatique. Partout dans nos champs, sur les plantes que nous cultivons, avec les animaux que nous élevons, ses conséquences sont palpables. Cependant, ceci n'a rien de nouveau. Déjà dans les années 1970, les paysans et paysannes africaines étaient touchés par la désertification et par un changement radical dans le rythme des saisons. Depuis, nombreux parmi nous sont ceux qui ont été touchés par des ouragans, des inondations, le raccourcissement de la saison humide et des maladies des plantes et des animaux dues à des températures inordinaires. Nous avons adapté nos modes de vie et de production pour faire face à ces changements. Par exemple, nous avons développé des semences qui poussent plus vite ou qui résistent à la sécheresse, nous avons mis en place des systèmes pour endiguer l'eau ou au contraire pour la garder dans les sols plus longtemps pendant la saison séche. Presque toujours, nous avons accompli ces changements avec tant de réussite que la plupart des gens ne s'en sont pas rendu compte. C'est seulement du fait de la crise des prix alimentaires au printemps 2008 et car les émeutes dans les villes menacaient les gouvernements nationaux que les médias ont commencé à prêter attention à la crise de long terme à laquelle font face les comunautés paysannes et à la situation critique de la production alimentaire dans l'économie mondialisée. Les paysans et les petits agriculteurs sont menacés par les « solutions » au changement climatique promues par le monde des affaires.

Cependant, il semble que les paysans et les paysannes soient aujourd'hui plus menacés par les solutions au changement climatique promues par le monde des affaires, les pays du G8, l'Organisation Mondiale du Commerce et la Banque Mondiale, que par le changement climatique en lui-même. Les agrocarburants, les semences adaptées au changement climatique, la fertilisation des océans et les mécanismes de commerce de carbone, en accélérant la privatisation de toutes les ressources naturelles de la Terre, exclus les communautés locales de l'accès aux ressources autrefois appelées les « biens communs »: la terre, l'eau, les semences, et peut-être même maintenant l'air que nous respirons.

La plupart de ces solutions visent en fait plus à faire face à l'épuisement des hydrocombustibles qu'à arrêter le changement climatique. Un des buts exmplicite de la Conférence des Parties (COP) est maintenant également de « sécuriser à long-terme l'approvisionnement énergétique supply ». Les agrocarburants sont caractéristiques de ce problème. Bien qu'ils soient présentés comme un moyen de diminuer les émissions de CO2, en réalités ils servent essentiellement à remplacer les carburants fossiles pour pouvoir continuer à augmenter les consommations énergétiques au niveau mondial, au profit du monde des affaires.

Les solutions néo-libérales au changement climatique et à l'épuisement des réserves de carburant fossile font qu'il devient de plus en plus difficile de vivre du travail de la terre. Partout dans le monde, la terre est confisquée par les multinationales pour faire pousser des agrocarburants. Partout dans le monde, les géants semenciers avancent le rouleau compresseur de la propriété intellectuelle pour interdire aux paysans et aux paysannes de reproduire eux-même leurs semences -les seules pourtant qui puissent s'adapter à l'évolution des conditions climatiques- et imposer leurs hybrides brevetés et leurs OGM. Les politiques agressives de « libre »-échange imposées par le Japon, les Etats-Unis et l'Union Européenne via les accords bilatéraux dépossèdent les commuanutés de leurs marchés locaux et les mettent sous le contrôle des firmes financières, agroindustrielles et de distribution. Il devient de plus en plus difficile pour les paysans de tirer un revenu digne de leur travail, non pas parce qu'ils ne produisent pas assez ou pas assez efficacement, mais à cause de la prise de contrôle violente des multinationales sur toutes les ressources naturelles et sur les marchés. La crise alimentaire de cette année a effectivement montré que ce n'étaient pas le manque d'alimentation qui avait entrainé la hausse vertigineuse des prix, mais essentiellement la spéculation financière sur les marchés des céréales.

De façon plus générale, les solutions promues par les gouvernements et les institutions néo-libérales font toutes porter le coût des politiques d'ajustement au changement climatique sur les plus pauvres. D'un côté, ils encouragent la consommation « verte » pour les plus riches, leur permettant ainsi de se décharger de leur responsabilité face à la crise environnementale, de l'autre ,en augmentant le prix des produits de base, ils empêchent l'essentiel de la population d'avoir accès aux ressources indispensables pour couvrir leurs besoins élémentaires (alors qu'on acclame les riches Européens et Américains qui achètent des voitures qui rejettent peu de CO2, le prix du pétrole pour cuisiner dans le Sud est devenu tellement cher que beaucoup ne peuvent plus se l'acheter). Le changement climatique est devenu un nouveau prétexte pour exploiter les plus pauvres tandis qu'une élite de plus en plus exclusive peut continuer à vivre comme avant: business as usual.

La destruction de l'agriculture paysanne est une des causes principales du changement climatique. Un exode rural massif découle de ces politiques. En Europe et aux Etats-Unis, où presque tous les biens communs ont été privatisés et où les petits paysans sont face à la concurrence impitoyable de l'agriculture industrialisée soutenue par les subventions, moins de 5% de la population continue à cultiver la terre. Partout dans le monde, les paysans et les paysannes sont piégés entre d'un côté leur dépendance à des semences, des pesticides et des engrais qu'ils achètent de plus en plus chers, et de l'autre côté les prix très bas qu'ils obtiennent à la vente de leur produits. Les paysans quittent les campagnes et rejoignent la misère des bidonvilles. Sur les six milliards d'habitants que compte la planète, trois sont maintenant des urbains, dont un milliard qui vit dans les bidonvilles. Les experts prédisent que bientôt la majorité des urbains pourrait bien se trouver dans les bidonvilles.

Cet exode rural est parmi les plus grandes menaces pour le climat. En effet, alors que l'agriculture paysanne refroidit le climat, le modèle industriel de production et de consommation qui le remplace décuple les émissions de carbone. Ces dernières 150 années, l'industrialisation de l'agriculture a signifié le remplacement de l'énergie humaine – le travail des femmes et des hommes paysans- par l'énergie des carburants fossiles: on pense aux tracteurs, mais aussi aux engrais et à la spécialisation des production et au développement des monocultures, basées sur des transports de marchandises sur de longues distances pour nourrir les êtres humains et les animaux d'élevage. Cela a entrainé le remplacement d'un modèle de production qui, en prenant soin de l'humus, stockait d'énormes quantité de carbone dans les sols, par un système qui utilise quatre fois plus de calories issues d'énergies fossiles qu'il n'en produit en aliments.
La CCNUCC doit reconnaître l'échec de Kyoto et adopter un ordre du jour de négotiation radicalement différent. Le protocole de Kyoto qui a été signé en 1997 et a été mis en application depuis 2005 a déjà prouvé son inefficacité. Alors que les discussions commencent pour le réviser avec son expiration en 2012, les gouvernements et les institutions internationales doivent reconnaître que les solutions qu'ils ont avancées, à savoir les mécanismes de commerce de carbone, n'ont eu aucun effet pour arrêter le chnagement climatique. Depuis 1997, les émissions mondiales de CO2 ont dépassé les projections les plus pessimistes faites alors par les experts du Groupe Intergouvernemental sur le Changement Climatique.

S'ils souhaitent donc sérieusement s'attaquer à la crise, la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations-Unies sur les Changements Climatiques) et les gouvernements doivent discuter des causes réelles du changement climatique. Ils doivent commencer par reconnaître leurs erreurs et leurs échecs, ils doivent ouvrir un large débat public avec les mouvements de la société civile pour faire face à la racine du problème: l'avidité du modèle de développement basé sur le pouvoir des firmes et sa propagation dans le monde entier.
Pour faire cela, l'ordre du jour des négotiations climatiques devraient être radicalement modifié. Il devrait inclure les sujets suivants:
l'impact du commerce international sur les émissions de carbone et la relocalisation des économies;
l'impact de l'agriculture industrielle sur le climat et le soutien à l'agriculture paysanne et aux modèles de production agroécologiques;
une stratégie pour respecter la souveraineté alimentaire des peuples;
une stratégie pour laisser les carburants fossiles dans le sol, pour diminuer de façon drastique la consommation énergétique et pour développer des énergies renouvellables contrôlées au niveau local;
une stratégie pour assurer un accès juste pour tous aux biens communs, et plus spécifiquement via des réformes agraires et l'arrêt de la privatisation de l'eau;
une stratégie pour faire cesser le pillage des ressources du Sud par les pays du Nord tel qu'on le connait depuis l'époque coloniale.
A moins qu'un tel ordre du jour soit enfin discuté au sein de la CCNUCC, et non pas comme prévu les mécanismes de commerce de carbone, nous pouvons être sûrs que cela n'aura aucun effet sur la catastrophe climatique. La CCNUCC doit s'attaquer à la racine de la crise climatique ou bien disparaître.

Le mandat de la CCNUCC est de s'attaquer de façon sérieuse au changement climatique, et pas d'ouvrir de nouveaux marchés « verts » au bénéfice des grandes firmes. S'il ne remplit pas son mandat, il est inutile, voire a des conséquences négatives, puisqu'il fait croire que les gouvernements font face à la crise alors qu'il n'en est rien. Le sommet de Bali a montré un mauvais précédent en terme de prise de contrôle des intérêts financiers sur les négotiations.
Les prochaines réunions de la CCNUCC, à Poznan en décembre 2008 (COP14) et à Copenhague en décembre 2009 (COP15) seront décisives.

La Via Campesina appelle la CCNUCC et les gouvernements à changer immédiatement l'ordre du jour des discussions à Poznan. Les peuples et les mouvements sociaux jugeront sur les résultats de la COP14 à Poznan si la CCNUCC est digne ou non de leur confiance pour faire face au changement climatique, et ainsi si elle est utile et légitime ou non.
Nous nous engageons à travailler avec nos alliés à Poznan et à Copenhague et tout au long de l'année prochaine dans le monde entier, pour dénoncer les fausses solutions au changement climatique et pour construire de réelles alternatives aux niveaux local, national et international basées sur la souveraineté alimentaire et l'agriculture paysanne.

vendredi 5 décembre 2008

23 Décembre: Journée internationale des câlins gratuits

Évènement à venir...

Bilan des activités du mois de Novembre

14 Novembre:
-Création du collectif
19 Novembre:

-Participation à la manif'action organisée par l'ASSÉ contre la privatisation (Montréal)
23 Novembre:

-Le collectif s'appelle maintenant Communauterre
28 Novembre:

-Action festive pour la journée internationale sans achat:
Souper communautaire, free shop ambulant dans un centre d'achats, don de jouets avec des messages anti-consommation au père Noël pour les enfants

Vidéo sur le foie gras

Vidéo anti-pub

Zoom média, alternative

Les zoom médias pourrissent nos vies!
Un moyen plutôt direct de diminuer la présence du privé dans les établissements d'enseignements ; retirer les pubs des zoom media et utiliser ces espaces pour y annoncer autre chose ...

Outil pour ouvrir les cadres Zoom media:
Matériel nécessaire (disponible à peu de frais dans toutes lesquincailleries);
-Vis de 1/8 pouce de diamètre et 3 pouces le long
-Fil de fer rigide
-Pinces
-Colle contact
-Duct tape

La fabrication (voir le schéma) :
-Enrouler du fil de fer tout juste en dessous de la tête d'une vis; faire quelques tours.
-Faire un anneau de quelques centimètres avec l'autre bout du fil de fer-Enrouler l'autre bout du fil de fer sous la tête de la vis.
-Mettre de la colle là ou le fil de fer a été enroulé autour de la vis (dans le but de l'empêcher de tourner).
-Enrouler l'anneau (qui deviendra la poignée) avec du duct tape pourprotéger vos doigts lors de l'utilisation.

L'utilisation:
-Insérer les outils dans les 2 trous qui se trouvent dans le haut du cadre zoom media.
-Faire tourner l'outil sur lui même (pour qu'il se visse dans le zoom media)jusqu'à ce qu'il soit complètement vissé.
-Tirer l'outil vers le haut ; il sera alors possible de faire pivoter lepanneau du zoom media vers le bas.
-Retirer la pub et/ou insérer une autre affiche.
-Refermer le cadre du zoom media, pousser l'outil vers le bas pour bien refermer et dévisser-le.
-Finalement, insérer de la colle dans les trous du haut du zoom media pourqu'il devienne impossible de l'ouvrir à nouveau et d'y placer d'autres sales pubs.

jeudi 4 décembre 2008

La folie de la consommation...

NEW YORK — Un employé d'un hypermarché Wal-Mart de Long Island, à New York, est mort piétiné par une horde de consommateurs déchaînés peu après l'ouverture du magasin pour les soldes vendredi, selon la police. La foule attirée par le "Black Friday", journée de grands soldes marquant le début officiel de la période des courses de fin d'année aux Etats-Unis, a défoncé la porte du Wal-Mart, projetant par terre l'employé qui était en train de l'ouvrir. Environ 20.000 personnes se sont ruées à l'intérieur, selon la police. L'homme âgé de 34 ans a été transporté à l'hôpital, où son décès a été constaté vers 6h locales, une heure après l'ouverture du magasin. La cause précise du décès n'a pas été précisée. Les clients se sont comportés en "sauvages", a raconté un témoin, Kimberly Cribbs. "On leur disait qu'ils devaient partir, qu'un employé avait été tué, et des gens criaient 'Je fais la queue depuis hier matin!' Ils ont continué leurs courses". Une femme enceinte de 28 ans a aussi été transportée à l'hôpital, où elle a été mise sous observation, selon la police. Trois autres clients ont subi des blessures mineures et ont été transportées à l'hôpital. La chaîne Wal-Mart, basée à Bentonville, en Arkansas, a déploré un accident "tragique". L'employé tué était un intérimaire.